La reconnaissance de l’existence de l’intelligence, du langage et de la sensibilité chez les animaux a démarré, à contre-courant, dans les années 1950 et s’est accélérée et généralisée au début des années 2000. Aujourd’hui, les scientifiques accordent aux animaux les multiples critères définissant l’intelligence et la conscience.


S’il y a conscience, il peut y avoir
échanges. Écouter un animal revient à lui reconnaître son individualité, sa
conscience, sa liberté de choix, ses émotions, ses besoins et ses envies.
L’écoute animalière, communément appelée communication animale, relève d’un
principe ancien et largement admis sur le continent américain. La communication
animalière participe à la revalorisation de l’animal pour le considérer enfin comme
un être vivant égal de l’homme. Elle participe à l’évolution de l’homme pour
qu’il dépasse sa tendance atavique à l’assujettissement et pour qu’il développe
un plus grand respect envers ses semblables et ses dissemblables.
Il est possible d’écouter tous les animaux.
Et voici un exemple de ce qu’en disent les chats :
« Enfin ! Voilà si longtemps que tu n’es
pas venue m’écouter. Je suis content que tu reviennes. Cela me fait tellement
de bien ! Le plus important pour moi, c’est d’être entendu. Le fait de te
parler me permet de dire ce que je sens et vis. C’est très agréable. Je t’en
remercie. Savoir que H. est prête à m’entendre me fait du bien. J’ai
l’impression d’exister un peu plus. »
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